Oublier le regard, pour mieux percevoir ce que l’on traverse. S’arrimer aux rapprochements, creuser la frontalité avec l’autre, inventer des trajets pour mieux lire là où l’on se trouve.
Alors les rythmes de chacune mise en relation nous proposent une lecture mouvementée du lieu, faite de ralentissements et d’accélérations. Ces images mises en mouvement nous dévoilent les bords, les entre deux d’un paysage troué par celles qui le traverse. Ou comment les images peuvent encore nous parler du fait de voir ?