En proposant à 3 enfants de danser « spontanément » sur la sonate de Mozart, c’est tout un univers de sauts qui s’est ouvert. Ce qui est frappant chez Tancrède, 4 ans, ce sont ses sautillements permanents pendant toute la musique.  César quant à lui, a sauté en faisant de larges cercles au sol frôlant parfois la course. Le sautillement de sa marche était lui aussi permanent.  Olivia 6 ans, a commencé au sol, rebondit sur la musique, alternant sauts et répétition de battements dégagés. Que deviennent ces danses une fois décrites en mots ? Mélanie Perrier a ainsi transmis les danses « ré-écrites » à Claire Malchrowicz.

Dans un jeu d'aller-retours entre les mots et la danse, nous verrons comment persiste la joie et la spontanéité d’une danse d’enfants et mesurerons la pliométrie de Mozart.

Cette performance devient un hymne à la danse, au corps dansant, de l’enfance bondissante à l’élan d’aujourd’hui. Un moment de danse qui s’invente avec et au delà des mots, porté avec beaucoup d’énergie et de joie retrouvée.

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Cette création fera partie du prochain "programme des résonances" proposé à partir de 2024, voué à se réinventer à l'échelle de territoire à l'adresse des écoles maternelles.